Portraitiste ? Jusqu’à se reconnaître.

1999 -Jusqu’à se reconnaître (Plume)
2004– Jusqu’à se reconnaître (Plume-Aquarelle)
Le portrait, pourquoi ?
Parce que ce genre, trop peu exploité, demande rigueur du dessin et analyse en profondeur de ce qui est caché et secret derrière les traits du modèle.
Dans un portrait, les formes peuvent s’écarter du modèle, mais ce qu’il recèle en lui de secret qui est source de la ressemblance vraie ne peut être blasphémé.
L’essentiel dans un portrait n’est pas l’aspect physique. Ce qu’il faut atteindre, c’est le plus intime et le plus intérieur du modèle.
D’un portrait : plus que la ressemblance, en atteindre l’esprit.
J.C.H
Bonjour Jean-Claude,
J’admire votre technicité et votre imagination. Quel beau travail
J’aime, entre autre, l’humour de « table de mes rêves »
Bises amicales
🙂
Je suis émerveillé autant par le portraitiste que par les mots du maître inspirés par son œuvre. Tout est beau, bravos ! Lucien Ariès.